Malheureusement, des intérêts et objectifs croisés – et certaines fois contradictoires à cette visée initiale et universellement reconnue – viennent déformer et infecter ces enjeux sociaux justifiant au départ l’aide internationale. Certaines fois, entre autres lors de l’appui accordé par l’Agence canadienne de développement international (ACDI) à Haïti suite au fameux séisme de 2010, l’aide internationale profite moins aux populations pauvres qu’aux entreprises locales.
Une réalité, moins reluisante que l’initiale, qui mobilise de nouvelles forces, de nouveaux enjeux, et qui pose d’importants questionnements. Nous tentons ici d’explorer cette réalité, de la remettre en question, et de susciter des réflexions à cet égard.
Germain,
Annie,
Marly,
Anton et
Charles-Éric
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